mercredi 20 mai 2009

Par un simple clic participe à la campagne

Voila une couverture plus réaliste !!!!


Montage Renaud.Monier

Qu'est ce qu'on s'emm... au PS !!!!!



La dernière fois, j'étais dans une réunion d'information avec Bernard Poignant. Il y avait 20 personnes dont moi.

Là, une nouvelle réunion socialo. L'europe, c'est pas leur truc !!!!

Le dessin de nono


Cet article a été prélevé dans le télégramme. Remarquez la caricature dessinée par nono. Il faut quand même voir que celui qui s'oppose aux commissaires n'est autre que Villiers. Ce n'est ni Le Pen, ni Besancenot.
Autre chose assez interessante dans le dessin, c'est qu'on peut manger du conconbre qui n'est pas esthétiquement parfaite grâce aux commissaires qui ne nous l'interdisent plus !!! C'est quand même une drôle de vision des choses non ???

Le jeu du tensiomètre


Toujours dans le télégramme. Un article formidable. Tous les jours un journaliste fait une dissertation sur un sujet d'actualité. Cette fois ci, c'est l'Europe.
Si vous voulez, vous faites un test. Prenez un tensiomètre, mesurez la tension artérielle. Puis, lisez l'article. Reprenez le tensiomètre et regardez, ça a monté !!!

Propagande européïste en couverture du télégramme


En titre à la une du télégramme: L'europe comment elle a changé nos vies. L'image de petites filles blondes, de grands yeux bleus tournés vers des drapeaux européens. Quel bon père de famille ne ne se sentirait pas ému et responsable devant cette illustration. Allons vite déposer notre bulletin dans l'urne pour Barosso !!

mardi 19 mai 2009

Grand jeu euro-béat


Remarque sur l'interview sur France Inter



Tous les matins je suis l'émission politique de France Inter avec Nicolas Demorand. Les questions des auditeurs sont choisies, à la fois en faveur et en défaveur de l'invité. Villiers semble avoir été logé à une autre enseigne. Il n'a eu que des questions d'auditeurs qui lui étaient hostiles.

Votre mission


Votre mission si vous l'acceptez, aller sur les sites locaux de l'UMP, sur facebook, blog de Laurent et faire la promotion de notre blog. Cette illustration devrait vous y aider:

Les origines européennes de la crise du lait français

Les producteurs de lait français, surtout dans l'ouest du pays, se voient obligés de descendre dans la rue pour demander un changement de la politique européenne laitière. Ils dénoncent en effet une baisse de 30 % sur un an du prix du lait. Linda Monnier (FNSEA Loire-Atlantique) précise : "On nous achète le lait au même prix qu'il y a 25 ans, alors que depuis les charges ont considérablement augmenté"...

Face à cette mise à mort des producteurs français, le futur Commissaire Michel Barnier s'est mis à l'écoute des producteurs et les a certainement rassuré en leur apprenant que cette crise n'était "pas uniquement française" mais "résultait de surplus sur le marché européen et mondial". La mise en place d'une médiation aura sans doute un effet magique et rendra enfin la mondialisation heureuse !

Philippe Cartieaux (président des producteurs de lait du Nord), lui, sait remonter aux causes : "Les décisions de Bruxelles et la politique de la distribution sont responsables".

Face à ces analyses réalistes qui manifestent en effet que rien de caché qui ne soit un jour découvert, le tout-puissant technocrate Barroso, actuel président de la Commission, songe à des déblocages de fonds qui ne changeront rien à la crise structurelle des marchés. Qu'il est dur de se remettre en cause quand on ne s'est jamais sérieusement mis à l'écoute du réel !

Jean-Marie Keroas

Le retour !!!!!


Lait: Communiqué officiel de Sophie


Sophie Mével, en deuxième position sur la liste de Philippe de Villiers pour les élections européennes et conseillère municipale de Brest, renouvelle son soutien aux producteurs de lait.

« La situation devient intolérable ! En plus de l’effondrement des prix, les éleveurs sont confrontés à l’augmentation des frais de production. Il est urgent que les producteurs perçoivent une juste part de la valeur ajoutée du lait qu’ils produisent. Alors que la PAC avait pour vocation de garantir la sécurité des approvisionnements, de stabiliser les marchés et d’apporter un niveau de vie équitable aux agriculteurs, on constate aujourd’hui que toutes les productions sont en souffrance. Il est urgent de revenir à l’esprit du Traité de Rome et de rétablir la préférence communautaire pour protéger les producteurs de lait et tous les agriculteurs ».

La Charte des Droits Fondamentaux : un texte qui accélère la discorde sociale

L’enjeu de ces élections va bien au-delà des questions de camembert et de vin rosé : ce sont nos modes de vie et leurs équilibres fondamentaux qui sont menacés par les positivistes de Bruxelles. Le MPF se veut un parti du bon sens. Or, la politique réaliste, ce n’est pas la gestion de ce qui est ici et maintenant, c’est voir au loin, voir les conséquences de ce que nous voulons au regard du bien commun.

Tant qu’on refoule les considérations éthiques dans la sphère privée, on reste des agents utiles de la dictature relativiste qui altère ce bien commun. Au fur et à mesure du recul de la culture, on voit les gens s’en remettre spontanément à l’Etat comme à un sauveur. Or, la première des régulations souhaitable, ce n’est pas la puissance étatique, c’est la conscience morale. Car le bien vivre n’existe pas sans réflexion éthique. C’est pourquoi le danger du Traité de Lisbonne n’est pas qu’économique : à travers la Charte des Droits Fondamentaux annexée au Traité, ce sont les repères du droit naturel lui-même, fondé sur l’ anthropologie commune, qui sont attaqués.

Cette Charte, en effet, inspirée par une philosophie relativiste, est en réalité un outil de destruction des orientations naturelles que le législateur devrait au contraire soutenir.
Elle admet ainsi la licéité du clonage « thérapeutique » et n’exclut que les pratiques eugéniques et le clonage reproductif. Alors que la différence concerne seulement l’objectif poursuivi, mais non pas l’opération de reproduction elle-même des cellules d’un être humain vivant. De même, en ce qui concerne les personnes âgées, elle se refuse à leur conférer un droit à une mort naturelle. La Charte fait également un grand pas en avant dans le sens de la reconnaissance de « familles homosexuelles ». Tout d’abord en dissociant explicitement la notion de mariage de celle de famille (« Le droit de se marier et le droit de fonder une famille sont garantis selon les lois nationales qui en régissent l’exercice » - article II-69). Alors que la déclaration universelle des droits de l’homme, adoptée en 1948 par l’ONU - mais qui n’a toujours pas été rendue applicable en France ! - définit la famille comme l’union d’un homme et d’une femme, et en fait l’élément naturel et fondamental de la société (article 16 de la déclaration), la Constitution de l’Union européenne promeut un modèle neutre à la fois du mariage et de la famille en ce qui concerne le sexe des « conjoints ». La porte est donc largement ouverte à une reconnaissance officielle des mariages ou familles homosexuels.

La Charte envisage des mesures pour assurer l’égalité des couples homosexuels devant le mariage et la famille, par rapport aux couples hétérosexuels. On ne s’étonnera pas, dans ces conditions, de la campagne active des mouvements homosexuels en faveur du « oui », lors de la campagne du référendum de 2005. Or, une fois proclamée l’égalité absolue entre la relation homosexuelle et la relation hétérosexuelle, y compris sur le plan naturel et social - ce que fait la Charte - le reste suivra : toute discrimination positive destinée à forcer cette égalité de traitement, y compris en ce qui concerne le mariage et l’adoption, sera non seulement bienvenue mais devra être regardée comme la simple mise en œuvre de stipulations en fait obligatoires du droit européen. Il ne s’agit pas pour nous de juger les personnes mais de discerner ce qui est préférable pour la cohésion sociale. C'est cela le rôle d'un authentique homme politique. Il faut avoir le courage de poser ces questions éthiques et non pas les fuir dés qu'elles dérangent. Il faut être soi-même avant d'être élu, sinon nous sommes en plein machiavelisme et carriérisme.

Le 7 juin prochain, il s’agit d’élire des députés dont le pouvoir est, dans l'état actuel du fonctionnement de l'UE, très limité puisque la Commission garde l’initiative législative. Ce Parlement examine, en codécision avec le Conseil, les propositions de cette toute-puissante Commission. Ce Parlement européen est dans les faits une chambre d’enregistrement. Le but de Philippe de Villiers est de créer un groupe parlementaire capable d’alerter l’opinion des décisions irresponsables des technocrates de Bruxelles. Or, pour former ce groupe, il faut au minimum 20 élus originaires d'au moins 6 pays.

Jean-Marie Keroas, président de la Fédération : http://keroas.blogspot.com/

Crise du lait, le MPF maintient sa position


Nous n'avons pas attendu la période électorale pour nous exprimer sur ce sujet (contrairement à d'autre partis qui on l'air de découvrir la situation). C'est pas la voix de la deuxième de liste Sophie que nous nous exprimons cette fois ci .

lundi 18 mai 2009

Report du comité local des pêches


trouvésur le site du comité local des pêches:
http://www.comitedespeches-guilvinec.fr/


De Villiers en campagne au Guilvinec : préférence communautaire et pêche territoriale

Publié le 13 mai 2009, mise à jour le 14 mai 2009
par René-Pierre Chever


Fidèle à sa doctrine établie depuis une trentaine d’années lors des campagnes électorales, le Comité des pêches du Guilvinec accepte de rencontrer et de débattre avec tous les partis politiques et leur tête de liste, sans exception, mais dans la mesure de ses disponibilités.

Après Madame Bernadette Vergnaud, tête de liste du PS pour le grand-ouest, ce fut le cas l’après-midi du 13 mai 2009, dans le cadre de la campagne pour les européennes, de Philippe De Villiers, accompagné par deux co-listiers, dont Sophie Mével de Brest.

Philippe De Villiers s’est engagé devant les responsables du Comité des pêches et les journalistes, à ce que Sophie Mével, seconde sur sa liste, postule pour la commission pêche au Parlement européen.

Par ailleurs, il a écouté attentivement les pêcheurs présents (essentiellement de la pêche hauturière) qui lui ont expliqué trois points fondamentaux pour préserver l’avenir : reconstruire raisonnablement des bateaux neufs, limiter les importations des pays tiers et pratiquer des repos biologiques pour le poisson et les hommes en février de chaque année.

L’un des pêcheurs n’a pu s’empêcher de lui faire remarquer que s’il sollicitait les suffrages s’était pour siéger effectivement au parlement. Ce a quoi il a répondu qu’il n’était pas là pour "cautionner la commission et son système de jeton de présence mais pour l’ouvrir même si cela ne plaisait pas toujours aux commissaires".

Il a partagé l’analyse du Comité, qui affirme depuis longtemps, que la Commission européenne a décidé une politique catastrophique en trois volets : importations massives des pays tiers, développement tous azimuts de l’aquaculture, privatisation de la ressource à l’intérieur des 200 milles européens. Il a donné son point de vue en dénonçant les accords du type cabillaud contre gaz naturel qui a sévi l’hiver dernier.

Une seule solution pour faire face à la situation, sur laquelle tout le monde était d’accord : faire plus confiance aux pêcheurs européens en considérant que leur expertise pour la gestion de la ressource est aussi valable que celle des scientifiques. L’idéal étant d’arriver à mélanger les deux...

Il a fini par le tour de quai traditionnel pendant l’arrivée des côtiers.

On en viendrait à regretter le temps des élections qui voit passer tous les candidats, c’est un moment de discussion et de débat enrichissant pour tout le monde !

Brève réaction écrite d’une jeune femme du milieu maritime qui se trouvait dans la salle :

"La réunion avec Philippe De Villiers s’est bien déroulée, de mon point de vue. Les marins ont défendu leur bifteck. M. De Villiers mène sa campagne, il semble d’accord avec nous, mais va t-il s’engager par la suite, pour nous défendre ? Va-t-il agir vraiment pour que la pêche dure ? L’Europe est une catastrophe dans tous les domaines. Il faut stopper l’importation puis consommer en premier notre pêche et non les produits des pays tiers ! Pour la ressource, le repos biologique serait l’idéal ! Il faut trouver le bon moment de Janvier à Mars, pour la plupart des marins ce serait la bonne période. La réunion était intéressante, une phrase de M. De Villiers m’a marquée :"Écouter les problèmes, faire porter les messages." C’est le rôle des députés quelque soit leur bord."

Laëtitia

Le programme de Villiers


J'ai reçu (peut être comme vous) le programme médiatique de Villiers de la part de Sophie ce matin. Sortez vos tablettes et notez.

Bonjour à tous,
Philippe de VILLIERS, Président du Mouvement Pour la France, sera l'invité de :
- France 3 National, samedi 16 mai 2009 - à partir de 23 h 00 - Francis LETELLIER,
- BFM TV, dimanche 17 mai 2009 - de 17 h 00 à 17 h 45 - Olivier MAZEROLLES,
- France Inter, mardi 19 mai 2009 - de 8 h 20 à 9 h 00,
- France 3 National - Paris, Mardi 19 mai 2009 - à 19 h 00,
- I Télé, mercredi 20 mai 2009 - de 8 h35 à 8 h 55 - Laurent BAZIN,
- Radio Notre Dame et RCF, mercredi 20 mai 2009 - de 18 h 00 à 18 h 30 - "Face aux chrétiens"
- LCI "Politiquement Show", mercredi 20 mai 2009 - à 20 h 30 - Olivier DUHAMEL, Jérôme JAFFRE, Christophe BARBIER et Alexis BREZET,
- Radio France Bleue - National, jeudi 21 mai 2009 - de 12 h 40 à 13 h 00,
- TF1 - LCI, jeudi 21 mai 2009 - de 16 h 00 à 16 h 30 - Blog de François BACHY,
- Canal +, dimanche 24 mai 2009 - 12 h 40 - Anne-Sophie LAPIX,
- Radio Courtoisie, lundi 25 mai 2009 - de 19 h 30 à 21 h 00 - Henry de LESQUEN,
- RMC, mardi 26 mai 2009 - de 8 h35 à 8 h 55 - Jean-Jacques BOURDIN,
- BMF Radio, mercredi 27 mai 2009 - à 13 h 00 - Edwige de CHEVRILLON,
- Canal +, La Matinale, jeudi 28 mai 2009 - à 7 h 45 - Gilles DELAFON,
- France 5, "Ripostes", dimanche 31 mai 2009 - 17 h 40 - Serge MOATI.
N'hésitez pas à communiquer ces informations autour de vous.
Bien cordialement
Sophie MEVEL

dimanche 17 mai 2009

Mobilisation européennes des producteurs de lait

GRANDE MOBILISATION EUROPENNE

LE LUNDI 25 MAI 2009

Encore une baisse du prix du lait,

la mobilisation continue !

Des laiteries annoncent en France un prix du lait à moins de 220 € / 1000 l !

Nous ne pouvons pas laisser faire, notre produit, nos troupeaux, notre avenir sont menacés.

Nous devons être actifs pour être efficaces et manifester. Sans mobilisation, c’est la fin de notre métier !

RDV à Bruxelles lundi 25 mai à partir de 10 h

Alors que les Ministres de l’Agriculture seront réunis en Conseil :

nous devons leur faire comprendre que notre situation est intenable.

Des cars ou du covoiturage sont à votre disposition, renseignez-vous auprès de votre animateur régional.

CLIQUEZ ICI

L’EMB, c’est plus de 100 000 producteurs de lait, soit 35 % de la collecte européenne dans 17 pays. La mobilisation est européenne. Nous devons absolument nous manifester faute de quoi le prix du lait continuera de chuter…

Alors tous présents le 25 mai pour changer la donne !

L'affaire des bulgares de Scaer

L'affaire des Bulgares de Scaer ou bien comment on met le gouvernement français en face de ses contradictions. D'un coté, la France signe le rattachement de la Bulgarie et de la Roumanie avec la dite "union européenne", d'un autre ils sont génés quand en pleine campage et en période de crise et de chômage on trouve des Bulgares travailler à la place des français pour trois francs six sous.

Trouvé dans le télégramme:

Justice. De bien embarrassants travailleurs bulgares

Six Bulgares ont été interpellés à Scaër (29) mercredi, puis placés en centre de rétention. Ils travaillaient à un chantier de rénovation, en situation régulière, au regard du droit européen. Enfin, presque...

� l'heure où la campagne électorale européenne tente de se faire une place médiatique, voici une affaire qui écorne singulièrement les bons sentiments europhiles des uns et des autres. Mardi, dans la journée, les gendarmes de Scaër arrivent sur le chantier de rénovation de la maison du poète Brizeux, à Scaër. Ils interviennent sur demande du parquet de Quimper qui a reçu comme «information» que six Bulgares, embauchés par une entreprise de la région,
participent à ce chantier.


Un passeport? Quel passeport?

Trois jours plus tard, les six ressortissants bulgares se retrouvent devant le tribunal de Brest, face au juge des libertés et de la détention. Ils viennent de purger 48h enfermés, placés en centre de rétention administrative à Brest. Le débat porte simplement sur le point de savoir s'ils restent en rétention ou si le juge leur permet une assignation à résidence en attendant leur reconduite à la frontière, que la préfecture du Finistère a décidée. Une affaire banale, en somme. À moins que. «Je vous rappelle que la Bulgarie fait partie de l'Union européenne depuis le 1erjanvier 2008 et que ses ressortissants sont donc libres d'aller travailler n'importe où sur le territoireeuropéen», souligne MeRajjou. Car ces six-là n'ont rien de clandestins. Avant de prendre le chemin du Centre-Bretagne, ils se sont garantis un contrat de travail en bonne et due forme, une carte d'identité valable et les tampons des ministères bulgares des Affaires étrangères et des Finances. Comme la loi le prévoit. Voici pourquoi MeRajjou bondit quand le représentant de la préfecture du Finistère, qui conteste l'assignation à résidence, évoque le manque de passeport et visa subséquent. «Ils font partie de l'UE, ils n'en ont pas besoin», gronde le défenseur, rappelant le représentant de l'État à son b.a.-ba de droit européen. Pareillement, ils justifient d'un logement à Guiscriff (56), qu'ils louent en toute transparence. Quelle est donc leur faute pour se retrouver à la barre d'un tribunal, arrivés menottes aux poings de la geôle?

Une circulaire cachée

La réponse vient encore de la préfecture. Le ministère de l'Immigration et de l'Intégration, alors sous la responsabilité de BriceHortefeux, a produit une circulaire obligeant les travailleurs bulgares et roumains, derniers entrés dans l'espace communautaire, à demander aux autorités françaises une autorisation de travail sous les trois mois. Et elle leur fait défaut. «Même les autorités bulgares ne connaissent pas cette circulaire, la France ne les a pas prévenues», tempête MeRajjou. «Il va de soi que nous allons la faire». Selon lui, l'employeur des six Bulgares s'y attelait déjà, hier. Le plaideur, accompagné par le propriétaire de la maison en rénovation, note, au passage, qu'ils étaient encore dans les délais pour demander ce énième papier.

Assignés à résidence

Le reste du débat, notamment sur le droit pour ces travailleurs bulgares d'exercer leurs talents sur un chantier français et de ne pas être sommairement reconduits à la frontière, sera examiné par le juge administratif, seul compétent en la matière. L'audience devrait avoir lieu à Rennes, mardi ou mercredi. En attendant, les six Bulgares ont été assignés à résidence à Guiscriff et libérés immédiatement du centre de rétention.

Ambroise bond

Je souhaitais vous faire part de ma pensée du jour:
En fait, James Bond 007 doit être de l'UMP:

  • Il est toujours dans des pots un verre à la main.
  • Il y a de jolies filles.
  • Ils vivent dans le luxe.
  • Ils se flinguent entre eux sans arrêts.
  • Ils sont aux ordres de sa majesté.
  • Et à la fin tout est cassé.

Captain Europa est là !!!!

Rendez lui visite sur http://captaineuropa.eu/


Captain Europa contre le vin rosé à l'européenne
envoyé par CaptainEuropa. - L'actualité du moment en vidéo.

Villiers au Guilvinec - Ouest-France


Villiers au Guilvinec - L'hebdo du Finistère